J’ai souvent entendu parler d’oradour sur glane, ce nom sonne comme un glas dans ma tête… Comment, comment, comment ? Je suis un fils, un mari, un papa et quand je songe que j’aurais pu être là avec les miens que j’aime tant ce jour de juin 44… Je pleure pour tous ces gens, victimes innocentes de l’idéologie barbare de quelques fous.. Comment peut-on toucher un seul cheveu d’un enfant, comment ?
Malheureusement ces fous existent encore et toujours… traquons-les sans pitié, c’est la seule chose à faire, l’histoire est un éternel recommencement… souvenez-vous… et soyez vigilants